🍂 L’automne, la saison qui prépare l’hiver… et le printemps suivant !

On l’oublie souvent, la gestion des prairies est un continuum : ce que l’on fera en automne conditionnera autant la santé des chevaux et de l'herbe des prochaines semaines, mais également la productivité des prairies au retour des beaux jours.

Au-delà de la repousse feuillue à valoriser, les apport de fibres à sécuriser, les sols fragilisés par l’humidité à ménager, les refus à gérer, ou encore la question des crottins et du parasitisme… Les enjeux sont nombreux. Bien conduite, la prairie en automne reste un atout nutritif et écologique ; malmenée, elle devient vite un terrain de boue bientôt envahie par des plantes "indésirables".

Le stockage de l'herbe sur pied consiste à la laisser pousser haute, à épier, et à ne la faire pâturer que plus tard en saison, quand il n'y a plus d'herbe verte disponible. Ce système efficace et intéressant d'un point de vue agro-écologique, représente toutefois quelques limites qu'il importe de connaître ...

Bien qu'intéressant pour la biodiversité et indigène de chez nous, le séneçon de jacob est dangereux pour nos chevaux. Sa consommation conduit à une intoxication progressive avec une atteinte au niveau du foie, pouvant causer la mort. Découvrez dans cet article quelles sont les espèces toxiques et comment gérer la plante pour éviter son développement dans nos prés, même quand elle est présente au bord de nos routes...

La porcelle enracinée a tendance à faire peur. Pourtant, c'est une plante normale en prairie ! Alors, faut-il réellement s'en méfier, ou pas ? Et comment gérer la plante quand elle est présente, pour éviter tout risque ? Découvrez-le dans cet article.

On lit partout qu'une herbe épiée est gage de sûreté, quand on veut préserver ses chevaux des risques de fourbure. En effet, l'herbe de printemps peut être particulièrement riche en sucres ! Mais est-ce qu'attendre avant de leur redonner l'accès à l'herbe est réellement une bonne idée ?